Agriodor lutte contre les pucerons des betteraves sucrières Contenu réservé aux abonnés
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Cette start-up rennaise développe une alternative aux néonicotinoïdes qui sont désormais interdits dans la filière betteraves. Elle lève 5 millions d'euros.
Les producteurs de betteraves sucrières sont vent debout contre l'interdiction par l'Europe des néonicotinoïdes. Ces insecticides chimiques évitent la présence de pucerons ravageurs sur les récoltes de betteraves dont la production risque de nettement se réduire si aucune alternative plus naturelle n'est rapidement mise en oeuvre.
C'est là qu'Agriodor entre en action. Cette start-up rennaise a développé « une solution agroécologique de bio contrôle basée sur des parfums naturels à base de kairomones [une substance sémiochimique volatile, NDLR] qui servent de répulsifs », indique Alain Thibault, son président.
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